En attendant, j’ai décidé d’écrire parce que quelque chose m’a frappé. J’ai réfléchit et je sais que ce n’est pas la tristesse. Pourtant, cette chambre vide me fait pense à deux choses.
Premièrement, elle me fait penser à chaque fois que j’ai quitter une chambre à la résidence à AU, et ces souvenirs de sentiments mixtes sont encore vivants aujourd’hui. Malgré le froid du début mars dehors, j’ai l’impression que c’est mai et que je rentre chez moi pour l’été. Mais ce « chez moi » n’existe plus. Je ne veux pas dire que je préférais l’ancien « chez moi, » celui que j’avais quand j’avais 18 ans, parce qu’en fait je préfère mon « chez moi » actuel, celui avec mon mari. Et en plus, je crois que Paris devient petit à petit un autre « chez moi, » un « chez moi » à part.
Deuxièmement je pense à la dernière fois que j’ai vu cette chambre vide – quand nous sommes arrivés. C’était un jour horrible pour moi. Fatiguée, stressée, et accablée, j’avais peur que j’avais fait une faute grave de venir en France pour 10 mois. Plus maintenant. Même s’il y a plusieurs difficultés, je suis contente d’être là. Jusqu’ici, mon séjour en France est rempli de belles expériences, de nouveaux amis. Je sens que je suis en train d’apprendre un peu plus sur moi-même, et j’améliore mon français !
Je tiens le coup !
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